Témoignage Marie-Laure Mézonniaud
envoyé par LibeOrleans. – L’info video en direct.
DÉCÈS. Marie-Laure Picat (Mezonniaud) s’est éteinte, dimanche à son domicile de Puiseaux (Loiret) des suites de son cancer. Cette mère de famille de 36 ans, en sursis, s’était battue contre le conseil général du Loiret pour obtenir que la garde de ses quatre enfants soient assurée par la famille de son choix. Grâce à sa ténacité et à l’issue d’une couverture médiatique nationale, elle avait obtenu gain de cause. (Lire la suite…)
Face à la déferlante médiatique, Marie-Laure avait su garder la tête froide. Elle précisait bien que les contrats engendrés par son histoire – un premier livre chez Oh! éditions, puis un projet de téléfilm à la rentrée – n’étaient motivés que par la mise à l’abri pécuniaire de ses enfants.
Ces derniers ont été placés le 2 février dernier dans une famille d’accueil du Puiseaux afin de ne pas être éloignés de leur père, dont Marie-Laure s’était séparée, et de leurs copains d’école.
Les médecins n’avaient guère laissé d’espoir au-delà de février dernier. Elle aura bénéficié de cinq mois de sursis. Dans les dernières semaines de sa vie, Marie-Laure n’était plus aidée que par des injections régulières de morphine. Sa longue maladie dont l’issue ne faisait plus aucun doute n’avait cependant pas réussi à entamer son humeur. Elle continuait de recevoir ses amis, malgré une fatigue difficilement gérable.
Libération se joint à la tristesse de ses proches.
Mourad Guichard
Mère courage,
Marie-Laure Picat est morte sereinement
Créé le 10/08/09 – Dernière mise à jour à 15h04
10 commentaires
Atteinte d’un cancer généralisé, l’auteur du livre « Le courage d’une mère » avait préparé ses enfants depuis de longs mois.
Se sachant condamnée, elle s’était battue pour que ses enfants restent ensemble après sa mort. Marie-Laure Picat s’est éteinte « sereinement », dimanche en fin d’après midi, à son domicile du Puiseaux dans le Loiret entourée de médecins et proches. Ses enfants étaient en vacances dans leur famille d’accueil.
Atteinte d’un cancer généralisé, Marie-Laure Picat avait tout fait pour trouver une nouvelle « famille de cœur » à ses quatre enfants. Un combat qu’elle avait raconté dans le livre émouvant : Le Courage d’une mère. Elle s’était confiée sur l’antenne d’Europe 1 à Marc-Olivier Fogiel le 12 juin dernier :
« Les enfants sont depuis dix mois dans une famille d’accueil très bien, mais la disparition d’une mère cela traumatise toujours les enfants », a déclaré lundi le maire de Puiseaux, Claude Houze. Marie-Laure Picat avait affronté l’administration pour que ce ne soit pas à un juge de décider du sort de ses enfants âgés de deux à onze ans. La famille d’accueil qu’elle avait choisi possédait un agrément pour trois enfants mais a bénéficié d’une dérogation pour pouvoir accueillir Julie, Thibault, Matthieu et Margot.
Encore plus récente merci
MURIEL ROBIN (s’abonner) | 04/06/2009
Son dernier bulletin de santé est “assez catastrophique”, dit-elle. “Je suis en sursis de chez sursis, mais passons”. Ce n’est pas une raison pour se départir de sa bonne humeur habituelle. Cette maman, atteinte d’un cancer en phase terminale, a ému la France entière . Marie-Laure Picat est devenue une célébrité malgré elle. “Je voulais juste que mes quatre enfants soient placés…
ici des nouvelles
Pour la Fête des Mères :) une pensée pour elle !
http://www.dailymotion.com/video/x8omnk
Marie-Laure, cancer, famille d’accueil, Puiseaux, loiret, Faits-divers
Par La rédaction du Post
le 18/03/2009, vu - fois, -
Info publiée par la rédaction du Post
Sur Le Post, la meilleure amie de Marie-Laure, atteinte d’un cancer, dit que « les médecins, qui ne comprennent pas, ne disent plus rien. »
On est en mars, et Marie-Laure est toujours là.
http://www.dailymotion.com/video/x7kiq5
C’était le 26/11/08
Marie-Laure a placé ses enfants
avant de mourir: « Cette fois, on arrive au bout »
Marie-Laure chez elle, à Puiseaux (Loiret).
les nouvelles ici
extrait du Post
Certains pensent que vous profitez de la situation…
« Ça parle, c’est comme ça. Ils critiquent pas mal…. En même temps, si je me mets à leur place, c’est vrai que, jusqu’à récemment, ils m’ont vu sortir, être avec mes amis, rire,…Du coup ils doutent de mon état de santé. Mais, honnêtement, c’est une minorité. »
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